lunes, 16 de febrero de 2009

Aprés avoir parlé à Claudio

Le vestige s'est échappé

et le fond est resté vide,

vaincu, coupé,

sans défense, mortel.

L'habilitation s'est remplie des présences, alguién une parole en retombant dans mes

oreilles et il est proche.

Il me fait inévitable:

éternel ?,

je ne le sais pas, mais il semble connaître je sans fin: mon éternité ?

latent.

Je suis morte et je n'ai personne

trouvé c

apable de lever mon voile obscur, je n'ai trouvé personne

qui me remémore,

qui savoir à que j'étais venu.

Le détachement crée

la tradition immaculée,

elle de recommencer à être constamment

cela qui m'inspire.

lunes, 26 de enero de 2009

en la Mecedora de Madera.

Entonces dices que me escuchas,

Y cómo sé que tus manos

sostienen mi cintura,

si aún sintiendo

el roce de tus dedos

me siento Intacta.

¿Qué será?,

y no hay eco.

Se suceden raramente las fusiones.

He añorado tanto pertenecerte

que no sé

si aún luego

estaré sentada en la mecedora de madera.

Y no interrumpas,

no cortes esa flor,

ya tiraste mi castillito de cartas,

¿Ahora qué voy a hacer yo?,

supe entonces tu respuesta

y entendí lo mucho

que me habías querido.

Repetiste yo, yo,

solo cinco veces…



Romina Carbonetti

Con este poema participo en el primer Concurso de Poesía de Heptagrama